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ACTUALITEs
01/06/2018 - ARTicle Acoustique n°2
Dans la continuité du précédent ARTicle, nous nous intéressons aujourd’hui à l’autre grande préoccupation des industriels : Mon activité présente-t-elle un risque pour mes salariés ?
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Pour comprendre la philosophie du code du travail sur le sujet, il faut imaginer le bruit supporté par les salariés comme une dose quotidienne ; un peu à la manière d’un réservoir d’eau que l’on remplit plus ou moins vite au cours de la journée, mais qui ne doit pas déborder à la fin.
Une tâche bruyante, telle que l’utilisation d’une disqueuse ou d’un marteau piqueur, est assimilable à un gros débit et remplira donc rapidement le « réservoir ».
Une tâche calme, telle que le nettoyage de l’atelier, ou le traitement des mails au bureau, est quand a elle assimilable à un petit débit, et remplira donc lentement le « réservoir ».
La réglementation française fixe plusieurs seuils (80, 85 et 87 dB(A)) pour lesquels l’employeur doit mettre en place des actions plus ou moins importantes (audiogramme, protections auditives, signalisation, sensibilisation, etc.)
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Pour connaitre la dose reçue par les salariés, il est nécessaire de faire des mesures dites « d’exposition sonore ». Ces mesures peuvent être effectuées par un bureau d’études acoustiques indépendant et équipé de dosimètres acoustiques homologués, tel qu’ART Acoustique.
Si besoin, ART Acoustique accompagne les industriels dans leur mise en conformité avec le code du travail par la réalisation d’une étude acoustique aboutissant à des préconisations selon plusieurs axes (Capotage des machines, traitement de la réverbération du local, optimisation des protections auditives, réorganisation du travail…)
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